Association Stea de Satu Mare

La mission de l'association Stea est de soutenir les personnes et les communautés marginalisées par l'éducation et l'autonomisation afin de surmonter les obstacles à leur inclusion sociale. La vision de Stea est celle d'un monde où les plus vulnérables ont les moyens de se sortir de la pauvreté, de construire une vie digne pour leur famille et de contribuer au développement de leur communauté.



marți, 13 august 2013

Condamné à une vie de chien



Nous vivons dans un monde fou. Ceux qui sont nés dans une famille, qui nous a assuré l’affection, un développement harmonieux et éducatif, en veulent toujours plus, nous ne sommes jamais contents avec ce que l’on a reçu. Ceux qui sont nés dans des conditions misérables, dans des environnements défavorables, sans l’amour et le soutien moral et éducatif des parents, ou avec leur présence mais sans éducation et bases solides pour le développement personnel, vivent simplement pour vivre et ils donneraient tout pour avoir au moins un quart de ce que nous avons reçu.

Nous « les normaux », nous les critiquons, les jugeons, condamnons et parfois nous les aidons. « Les autres nous regarde avec envie, ils nous détestent souvent pour ce que l’on a et ce que nous sommes, ou ils nous aiment parce qu’on leur offre notre soutien.

Dans cet amalgame des situations, sentiments, expériences  ou répressions, une chose est sûre : il y a beaucoup des personnes malheureuses qui ont choisi une certaine route à cause du manque d’éducation ou de guide, et ils ne font que perpétuer ce cycle. Pourquoi ? Parce qu’ils sont naissent, se développent et vivent dans un environnement toxique. Ils ne peuvent ni être, ni faire autrement. Tu es ce que tu vis, tu es ce que tu penses et ce que tu vois. En pensent de cette façon, il est inutile de s’excuser ou d’accuser, il est inutile de juger. Et l’indifférence ou la passivité ne nous assurent pas un développement, une évolution mais juste une stagnation ou involution.
                                 



J’ai visité une famille de bénéficiaires de l’association STEA de la catégorie «  des autres ». Ils vivent dans une maison construite avec des cartons, des conseils, et avec du chauffage improvisé à l’intérieur. C’est une maison de 8 mètres carré à côté du pont de fer. Dans cette petite pièce, il y a 2 lits et une petite armoire où vivent 7 personnes (la maman de 27 ans, le père de 29 ans et 5 petits enfants âgés de 6 mois à 11 ans.
Leur histoire n’est pas compliquée : les 2 jeunes sont nés et ils ont grandi dans la communauté de rom, dans les villages natales de Livada, respectivement Apa. Évidemment, ils n’ont pas eu l’opportunité d’être éduqués ; ils sont des analphabètes et depuis le début étaient condamnés à ce type de vie. En vivant dans ces communautés, oublié par le monde, n’étant pas encouragé, conseillé, guidé vers une autre vie que celle qu’ils vivaient, ils ont grandi et ils sont devenus des adultes. Des adultes qui a leur tour ont eu des enfants, comme il est fréquent dans les communautés de rom, a un très jeune âge. Si pour nous «  les normaux », il semble être impossible de vivre dans ces conditions, pour eux c’est quelque chose d’habituel. Cela ne veut pas dire qu’ils ne souhaiteraient pas autre chose, cela ne veut pas dire qu’ils ne meurent pas de froid quand il fait – 20 dégrées, cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas trop chaud  quand il fait 40 dégrées, cela ne veut pas dire que lorsque leurs dents cassent cela ne leur fait pas de mal , ainsi que leur estomac plein de nourriture provenant des poubelles , cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas malade à cause du manque d’eau potable et de produits d’hygiène,... Mais ils survivent et ils élèvent leurs enfants avec amour de la manière dont ils ont été éduqués, c’est la seule chose qu’ils connaissent.
 

La visite dans cette famille a duré 40 minutes. Pendant ce temps, je les regardais, je les écoutais, je leur posais des questions. Quand il fait beau, 3 des enfants dormaient dehors sur un matelas à côté de la maison. Le bébé d’à peine 6 mois était dans les bras de sa maman et il profitait de ses caresses et baisers. La fille la plus grande (11 ans) restait dans la maison et elle pleurait. Elle avait été réprimandée par sa maman parce qu’elle a fait une erreur. On parle de maison sociale. Malheureusement toutes les conditions imposées par la loi ne sont pas accomplies par cette famille. Ils ne sont pas mariés, et c’est un inconvénient : comment aller à l’état civil sale et habillé de chiffons. « J’ai honte » dit la fille. Vivre à la campagne est un autre désavantage. Les autorités ne veulent pas encourager la migration donc ceux qui viennent d’autres localités ne peuvent pas avoir de logement social. Un autre désavantage dans le fait de ne pas avoir de bonne étoile est le fait que les enfants ne vont pas à l’école. En tenant compte de la situation familiale et des conditions misérables dans lesquelles ils vivent, cela est pratiquement impossible. Grâce à l’association STEA et au protocole de la direction d’évidence de la population de Satu Mare, le père des enfants a fait faire ses papiers (certificat de naissance, carte d’identité), a été amené chez un médecin du travail pour pouvoir trouver un emploi et à la banque pour s’ouvrir un compte bancaire. C’est l’équipe de l’association STEA qui s’est occupée de tout ça et présente depuis 2 semaines ce travail avec un contrat de travail. Son salaire et l’allocation des enfants assurent la nourriture nécessaire pour une famille de 7 personnes. Mais assez souvent ils étaient obligés de manger dans les poubelles.
 
Ce que l’on jette, nous « les normaux », nourrissent leurs bouches. Donc sans s’en rendre compte, nous sommes directement responsables de leur survie. Aussi, comme nous sommes responsable de leur intégration. Nous, la communauté où ils vivent, nous pouvons les aider. Et Dieu de les aider à porter leur croix : celle de savoir que dans une communauté il y a beaucoup de discrimination différentes formant des barricades, des clôtures, également érigées par nous, la société de ceux « normaux ».

            

joi, 11 iulie 2013

Interview avec le secretair Solidarite Enfance Roumanie!



Lorsque je l’ai rencontré, il m’a laissé une première impression positive très forte. Il est très rare de faire la connaissance d’une personne dont les yeux transmettent une générosité et une sagesse si intense. Nous nous somme serré la main et présenté. En face de moi, j’avais un jeune de 24 ans, étudiant en psychologie, et volontaire français. Il était déjà familiarisé avec l’Association STEA de Satu Mare, comportant l’équipe et les bénéficiaires. Par la suite, j’ai appris qu’il était venu ici à plusieurs reprises…


 Melki Andres TSEDEQ est le secrétaire général de l’organisation française Solidarité Enfance Roumanie, une des organisations étrangères qui soutient financièrement l’Association STEA. C’est une personne qui a beaucoup voyagé, connaissant les problèmes que la société roumaine rencontre, aidant et apportant également le sourire à ceux qui entrent en contact avec lui. C’est donc pour cela que je lui ai demandé de répondre aux questions suivantes :

-Depuis quand connais-tu la Roumanie ?
M.A.T- La première fois que je suis venu à l’Association STEA et en Roumanie, c’était à Noël 2008. Depuis cela, j’y suis revenu 13 fois. J’ai cependant visité d’ autres endroits en dehors de Satu Mare.

-Quelle image as-tu de la Roumanie et de ses habitants ?
M.A.T- Sincèrement, je regrette la situation actuelle. Je ne viens pas ici simplement pour le volontariat. J’aime aussi beaucoup les gens d’ici, et ce pays. C’est dommage que les roumains, qui ont un grand potentiel,  ne le valorise pas pour améliorer leur vie, leurs actions et leurs directions. Après une visite en Roumanie, je raconte souvent aux volontaires français mon voyage, et ils sont toujours impressionnés par l’hospitalité des roumains. La vérité est que, nul part ailleurs, je n’ai eu la chance de rencontrer une hospitalité si grande qu’en Roumanie.

-Peux-tu nous dire si, en tant que volontaire, tu as vécu une expérience marquante ?
M.A.T- En général, toutes les expériences que j’ai vécues jusqu’à présent en tant que volontaire ici ou en Inde ont été assez intenses. Mais l’histoire d’un autre volontaire français, ayant été dans un orphelinat roumain, m’a énormément marquée. Je ne vais pas m’attarder là-dessus, mais je peux dire que c’est l’une des raisons pour lesquelles je suis venu en Roumanie et que je continue de le faire.

-Durant une semaine (période du 3 au 10 juillet 2013), vous avez dormi, toi et les 3 français de ton équipe, dans l’appartement social de l’Association STEA. Vous avez mangé avec ces enfants et jeunes bénéficiaires, même si vous auriez pu habiter dans un hôtel…
M.A.T- C’est exact. Quand nous sommes partis, nous sommes venus avec l’idée que nous n’avions qu’une durée limitée pour passer du temps avec ces jeunes et enfants sans abri, ou qui se trouvent dans des situations difficiles. Par conséquent, nous ne pensions qu’à profiter de chaque moment à leur côté. Il se passe aussi une chose très intéressante : quand ils viennent en groupe, les bénévoles français partent avec l’idée de leur venir en aide... Mais une fois sur place, ils apprennent à connaître les autres, ainsi que leurs problèmes, et par la suite, il arrive qu’ils se lient d’amitié avec les bénéficiaires de l’association et surtout, ils réalisent qu’ils sont EGAUX. C’est en pensant, et en vivant comme eux que nous sommes le plus apte à les aider.

-Qu’est-ce que le volontariat et le travail avec ces personnes  représentent pour toi ?
M.A.T- Pour moi, le volontariat signifie un pas en avant que chacun devrait faire pour développer ses capacités, ses aptitudes, sa vision de la vie. Une fois que tu as commencé à faire du volontariat, tu as fait un grand pas en avant. Apres, tu établis ton objectif : aider les gens. Miraculeusement, il arrive que je reçoive plus que je ne donne. En tout cas, c’est mon impression. Quand je suis revenu en France après ma première expérience à l’Association STEA, j’ai senti que je n’en avais pas fait assez. Nous y sommes retournés l’année suivante et nous avons offert plus car notre point de vue était différent vis-à-vis de notre interaction avec les enfants et les jeunes de la rue. Nous avons été moins égoïstes et nous avons voulu nous améliorer chaque jour, continué à faire des efforts pour être de plus en plus efficaces au fil des ans. Le volontariat est une chose que je fais premièrement pour moi, de bon cœur, et cela me procure un immense plaisir. Mais c’est aussi un moyen de devenir plus responsable, et de découvrir de nouvelles choses.

- Par rapport à cela… j’ai appris à apprécier avec les petites choses du quotidien, alors qu’avant travailler avec eux me semblait insignifiant. As-tu appris quelque chose ?
M.A.T- Je peux dire que j’ai appris différentes choses. Par exemple, la patience : ils vivent dans des conditions difficiles, mais le font tout de même avec patience, calme, sans se précipiter. J’ai appris à rire plus, à prendre la vie avec humour et philosophie, en général, comme ils le font. En vérité, j’ai beaucoup appris et je continue à apprendre des choses grâce à eux, et cela me rend très heureux.

-Melki, je te remercie pour le temps que tu m’as accordé. On se revoit l’année prochaine ! Et si tu as un conseil à donner aux jeunes roumains qui pourraient faire du volontariat mais ne le font pas…
M.A.T- Je vais leur transmettre ce que je transmets aux jeunes français : aller à l’Association STEA, connaître les bénéficiaires, écouter leurs histoires et  voir comment ils vivent. Apres avoir vu tout ça, à eux de décider pour la suite.

luni, 8 iulie 2013

10 enfants et jeunes de rue ont travaillés dans le jardin de l’Association Stea.



                  A coté de l’équipe éducatif Stea 10 enfants et jeunes de rue ont travaillés dans le jardin.
Cette action fait part du projet de jardinage pour développer une attitude responsable pour les jeunes et enfants sans abri, bénéficiaires de Stea.
En même temps ils apprennent la signification du travail et comment, avec ça, ils peuvent obtenir des bénéfices aussi personnels que et professionnels. Leurs entourages peuvent aussi apprendre de cette activité particulière en s’essayant, à ce travail aussi vieux que l’homme.
Cela leurs permet de plus d’enrichir leur nourriture, avec leurs soins en cultivant plusieurs sortent de légumes comme des oignons, salades, concombres, ailles, carottes  etc… Cette activité favorise le développement durable en favorisant une culture 100%.

miercuri, 26 iunie 2013

La vie de Gergo!




Il est né le 4 mars 1992. Cadet de la famille il vie avec ces deux frères et ces sœurs jusqu’à l’âge de 7 ans. Le plus petit de la Famille Step Gergo se trouve ici à Stea pour recevoir une chance de vivre une meilleur vie… Une vie que la plupart d’entre nous bénéficie. Nous avons écoutés son histoire et nous le partageons avec vous…0


A l’âge de 7 ans, lorsque les garçons ressemblent à Batman et Zorro, quand les enfants se préparent auprès de leurs parents pour la première journée d’école en achetant de nouveaux habits, des objets pour l' ecole était emmené sans aucune explication par ses parents dans une nouvelle place a l’extérieur de Satu Mare. Cette « nouvelle place » était un orphelinat situé à Odoreu.

-Que-fais-je-ici ? demanda l’enfant
-Tes parents t’ont abandonnés, tu vas t’habituer, c’est un orphelinat, lui a répondu une des employées de l’orphelinat.

Depuis ce moment Gergo n’a jamais posé de questions. Il savait rien de ses sœurs et frères, il ne savait pas pourquoi sa maman venait de temps en temps et pleurait sans donner des explications. Mais il est habitué et cela était déjà un début. Il a fait ses premiers pas à l’école générale d’Odoreu, mais après une année il a été transporté dans un autre orphelinat celui d’ Halmeu.

« Au début j’étais paniqué je ne savais pas ce qu’il se passait. Après un certain temps je me suis habitué à Odoreu et je ne comprenait pas pourquoi encore une fois on me déplaçait comme du bétail dans un autre orphelinat sans me donner une explication qui puisse justifier ce départ. »

Cependant je n’était pas malheureux, en effet, à Halmeu, j’ai pu retrouvé mes sœurs qui m’attendaient avec impatience. ‘Retrouver une part de ma famille est plus important que n’importe qu’elle ville…’ se disais Gergo.

Encore 3 ans se sont passés pendant que Gergo habitait dans le milieu d’une grande famille d’enfants abandonnés et orphelins. Il se disait tous les jours pour se donner du courage «tant que je suis auprès de mes sœurs tout va bien ».

Néanmoins la souffrance du a l’abandon de sa mère était de plus en plus dure à vivre. Sa mère en était consciente mais il ne pouvait en être autrement. Elle était la seule à gagner de l’argent dans une grande fille comptant seulement des enfants trop jeunes pour gagner leurs vies et participer aux dépenses courantes.
Sa souffrance s’alourdissait du fait qu’en tant que mère elle ne pouvait malgré son amour ces enfants près d’elle. Ce regret de ne pouvoir leur offrir ce que toutes mamans voudraient offrir aux siens meurtrie encore plus son âme.
Son mari alcoolique dépensait son argent dans l’alcool et représentait plus un poids pour la famille qu’une ressource d’argent sur laquelle pouvait s’appuyer la famille.

Gergo voyait bien que la santé de sa mère empirait chaque semaines. Elle maigrissait à vue d’œil mais que pouvait-t-il faire pour aider sa mère ?

Il l’a toujours aimé même si elle l’a abandonné à un orphelinat. Il s’inquiétait pour elle et cela le rendait triste de la voir comme cela. Il aimait le week-end car il savait qu’il verrait sa mère et pouvait recevoir les câlins et la tendresse que nul autre ne peut donner. Mais peu de temps après que Gergo eu 12 ans sa maman n’est pas revenue. La tristesse de ces sœurs lui ont amenées à penser que quelque chose n’allait pas.
A la fin elles lui ont dit :
- Maman est mort d’un cancer !
Depuis ça Gergo a pris une pause. Pendant plus d’un mois il se réfracta sur lui-même sans dire un mot. Il souffrait beaucoup à tel point qu’il ne su comment gérer la situation. Il pleura à chaude larme sans savoir que faire pour calmer sa souffrance. Il continua de rêver de sa maman, de s’imaginer qu’ils se racontent des histoires, de penser que lorsqu’il sera grand, il connaitra une fille qu’il aimera et formera une famille. Lutter pour trouver un sens à sa vie et faire quelque chose dans sa vie de constructif est très difficile, mais il se dit que s’il réussit sa maman le regarderais du ciel et serait fier de lui.

3 années passèrent et le cancer revenu pour prendre son papa et sa grand mère. Les années passent et Gergo est sorti à l’âge de 18 ans de l’orphelinat en gardant toujours en tête de réaliser quelque chose de bien dans sa vie. Cette volonté l’a conduit a trouvé un trouvé un emplois d’une durée de 6 mois dans une entreprise de Satu Mare. Avec ce salaire il pu louer un studio et gérer son budget pour survivre.
Mais son contrat ne fut reconduit et il ne retrouva pas un autre emplois aussi important. Les dépenses étant trop élevés pour garder son logement (90€ le loyer). Pourtant il travail périodiquement au lavage de voiture mais ce n’est pas suffisant. Il déménagea dans une chambre chez une de ces sœurs. Mais cette situation n’est que provisoire et en septembre 2012, il dormit au Centre d’urgence de Satu Mare.

C’est un jeune blond avec des beaux yeux bleus. Un garçon qui aime le travail et bien éduqué. Il fréquente les activités de l’Association Stea depuis plus d’une année. A la question que représente pour lui l’ Association Stea Gergo a répondu :
« Ici j’ai appris à faire beaucoup de choses que je ne savais pas avant, comme par exemple réaliser des supports des fleurs. Quand j’ai des problèmes et que je ne sais pas comment les résoudre, je viens et je demande, on m’écoute et me conseil sur la meilleur méthode à suivre. Depuis que je viens ici je suis plus heureux. Les activités que l’on fait ensemble, les compétitions sportives, les spectacles de théâtre ou les sorties dans la communauté me font sentir comme si j’appartenais à un groupe, une famille, ou je peux parler et sur qui compter, ou en fin de compte on m’écoute ! »

La semaine passée Gergo a trouvé un emploi : agent de sécurité. L’ Association Stea lui a offert un téléphone portable qui lui est indispensable dans ce métier et en quelques jours il va bénéficier des services de logement de l’appartement social, comme quatre autres jeunes, qui via ce processus ont pu intégrer par la suite une place dans la société!
Pendant cette période ou il vie dans l’appartement social, Gergo va bénéficier de conseil psychologique pour l’intégration social. L’Association Stea va lui permettre de développer ses habilités de vie indépendante (cuisinier, hygiène personnelle, administration d’un budget etc…) tout en économisant son argent pour louer un logement Independent !